Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 17

Le petit déjeuner se termine sans plus de heurts et plutôt dans une ambiance détendue et familiale. Élodie prend bien garde de ne pas se lever tant que sa mère et Serge ne sont pas partis et leur propose même de tout ranger après leur départ, afin de les faire partir au plus vite. “OUF, putain, enfin seule!” La gamine peut se détendre de la pression familiale, rassasiée de sperme mais toujours en manque d’un bon gros orgasme.

Alors qu’elle se lève pour ranger la table et qu’elle porte les tasses et son assiettes de pancakes aux traces de foutre séché, Serge fait irruption dans le couloir:

-Putain le con! J’ai oublié mes affaires! Tu me distrais trop p’tite coquine!

Élodie se fait surprendre penchée en avant, les seins à moitié déballés du faible soutien de la nuisette. Elle se redresse en panique, la main droite sautant par réflexe contre sa poitrine pour cacher sa “pudeur”. Elle rougit comme une pivoine malgré les traitements que son paternel vient de lui infliger. Il ne peut s'empêcher de jeter un œil amusé sur l’assise luisante de mouille de la chaise d’Elo;

-Tu mouilles vraiment comme une petite chienne, tu sais ça?

Faussement timide, l’adolescente lui retourne un sourire complice, lorsque soudain, elle lit le regard inquisiteur de Serge en direction de la table sur laquelle scintille …. “Mon phone, putain!”

La gamine panique vraiment! Son cœur explose dans sa poitrine, et tape violemment dans ses tempes. Elle sait que son snap et son insta n’affichent pas de notifs quand son phone est en veille. Pourquoi est-ce que l’écran se met à briller dans les mains de Serge, qui lui apporte l’appareil plus par habitude que par curiosité?

-Je suppose que c’est toi la “petite coquine”? S’amuse Serge qui lui tend son smartphone.

Morte de honte, Élodie lit elle aussi le début du SMS qui apparaît à l’écran: <Quelques prises de “vue” pour une petite coquine!>, accompagné d’une notif de plusieurs snap en attente de “Franck?”

Morte de honte devant Serge, Élodie pique un phare magistral et se précipite dans sa chambre en laissant tout en plan dans la cuisine.

La gamine a tellement les boules qu’elle ne se rend même pas compte que sa nuisette trop courte dévoile son cul potelé à son beau père qui en profite pour se rincer l’œil au détriment de sa belle fille: “J’me farcirais bien son p’ti cul à s’te petite pute!”, et il se casse commencer sa journée, l’image de ce joli petit cul ancré dans sa mémoire.

Une fois à l’abri dans sa chambre, la petite brune met un certain temps à calmer les pulsations qui battent encore dans ses tempes. “Putain, v’la la honte!” C’est fébrile et toute excitée qu’elle se décide enfin à ouvrir les snaps: “Wow putain! L’est bien foutu ce con!” Comme une gamine, la belle glousse devant les poses beau gosse du bel étalon.

Elle admire la musculature développée, et les poses plus ou moins osées sur lesquelles il dévoile ses pecs saillants, ses abdos parfaits et le haut de son pubis rasé; “Il prend soin de lui le salop!” Elle devine sa belle queue sous les caleçons serrés, et le dessin de ses couilles apparemment bien gonflées la fait doucement rêver des giclées qu’il doit déverser!

Mais ses rêveries sont brusquement interrompues lorsque le phone vibre entre ses doigts: <Fini de rêvasser salope! J’ai des projets pour toi! Ta tenue pour la journée t’attend dans ta boîte aux lettres. T’as deux minutes pour aller la chercher!>

“Putain l’enculé! Même pas le temps de me changer!” Elle enfile en vitesse ses sabots compensés et se rend au rez de chaussée de l’immeuble, le corps à peine couvert et les seins bringuebalants sous le coton tendu de sa nuisette Betty Boop roses. C’est au moment où elle récupère le colis et qu’elle referme la boîte aux lettres qu’elle le croise. Son voisin voyeur rentre apparemment de sa promenade matinale avec son monstrueux dogue allemand gigantesque. La gamine intimidée au visage poupon et au petit nez retroussé mis en valeur par ses lunettes aux montures fines ne peut retenir un regard rapide sur la bosse tendues de l’entrejambe du voisin, et alors qu’elle se rend compte de son indiscrétion, elle remarque les énormes boules du dogue pendouillant sous son abdomen: “Oh la vache!” Le voisin la tire de sa rêverie en la saluant, son propre regard fixé sur le 85D de la belle brune, et sur son joli cul mis en valeur par la nuisette trop courte.


-Bonjour Mr. Chevaleraud! Petite promenade du matin on dirait?

-Oui ma petite! Mon brave Sultan a besoin de son bol de forêt quotidien! Lui répond-t ‘il un sourire gêné au lèvres.

“HUM …. Mateur et timide à la fois le mec!” Lui vient alors une idée un peu saugrenue mais elle tente sa chance:

-Dites Mr. Chevaleraud, je cherche un petit boulot pour l’été, est-ce que vous embauchez dans votre boîte par hasard?

-HUM …. Il réfléchit; C’est pas impossible, je sais qu’on a toujours besoin de monde au marketing, mais faudrait que j’me renseigne! Mais t’es sûre? J’veux dire, Y a quasiment que des informaticiens chez nous!

-Ben c’est pas ça, mais j’ai ma mère qui me saoule avec ça et si je trouve rien, j’ai pas fini d’en entendre parler!

-HUM …. Oui je vois, bon ben j’me renseigne et je te tiens au courant aujourd’hui ou au plus tard demain! Ca va?

-Oh ouiiii …. Parfait merci merci merci!

La gamine, sans pudeur avec le mateur, lui saute au cou, et écrase sa poitrine sur la chemise de son voisin. Elle se retire soudain, gênée par son comportement familier:

-Excusez-moi, j’aurais pt’ête pas dû?

-HA HA HA HA non ça va t’inquiète! Rit-il en retour, se frottant la tête, lui aussi un peu gêné, mais ravi de ce contact avec la belle brunette qu’il observe depuis quelques jours depuis sa fenêtre!

-Bon ben j’vous laisse et merci encore!

-Oh ben me remercie pas encore ma belle!

Mais elle est déjà repartie, et ce n’est qu’une fois rentrée chez elle qu’elle réalise que son téléphone vibre: <T’as que deux missions pour les trois prochains jours p’tite salope: Premièrement, tu as jusqu’à samedi matin pour récolter tout le sperme que tu peux pour te faire un cumcicle, le conteneur est dans ton colis avec tes nouvelles tenues pour le reste de la semaine, et tu te fais bien filmer par tous les mecs que tu suceras, je veux les vidéos sur ta story.
Deuxièmement, lorsque tu es chez toi c’est nu intégral en talons et raz le cou, et si on sonne, tu accueilles la personne en serviette de bain; celle que tu trouveras dans le carton!>

“Drôle de mission!” s’interroge la gamine qui reçoit ensuite la photo d’une meuf en train de sucer ce qui ressemble à un esquimaux blanchâtre; “Oh un cumcicle: un popcicle mais fait de sperme gelé!”



Et le phone vibre une nouvelle fois: <Ton petit livreur, celui qui t’envoie ses snaps, tu le chauffes avec des nudes censurés et des vidéos où tu te branles, censurées elles aussi>

“Putain d’enfoiré! Il en a de bonnes, comment j’vais faire?” se dit-elle lorsqu’elle découvre la taille du conteneur et une boîte capotes, elle se rend compte qu’elle va devoir sucer une bonne dizaine de bites si elle veut remplir le moule. Elle sort ensuite les petites robes qu’il lui a choisies; uniquement des robes courtes et serrées blanches ou noires, confectionnées dans le même tissu stretch que sa mini robe tube, mais pourvues d’un généreux décolleté et soutenues par de très fines bretelles spaghetti. “Oh merde, et si j’ai un entretien? Ca va être chaud bouillant!”

Quelques heures plus tard, après une bonne douche réparatrice, et “habillées” d’une mini robe noire, quasi transparente, tellement le tissu se tend autour de ses formes, l’adolescente écume bars et chantiers afin de sucer tout ce qui bouge et remplir les capotes qu’elle range soigneusement dans sa pochette assortie. Son air innocent, son regard de gamine gourmande et le raz le cou s’accordant parfaitement avec son raz le cou en font une jolie chienne à laquelle aucun des mâles qu’elle croise ne résiste.

Après un jour et demi de collecte, le réservoir est quasiment rempli, et la gamine n’est pas peu fière d’elle, bien que inquiète de ce que le maître chanteur va lui demander en retour. Elle se fait aussi très discrète à la maison, afin de ne pas subir de nouveaux assauts de son beau père.
En effet, toutes les pipes se succédant lui laissent la mâchoire bien douloureuse, tous les salops qu’elle suce ne ménageant pas sa bouche juvénile de leurs coups de reins violents et profonds.

C’est donc fourbues et la mâchoire en feu qu’elle rentre chez elle le jeudi après midi, cinq capotes pleines de nectar dans sa petite pochette blanche, assortie à sa “robe” du jour. Une fois le pas de la porte franchi, elle ne peut s’empêcher de revoir les vidéos amateurs enregistrées par tous ces mâles, qu’elle conserve dans la story privée qu’elle partage avec le corbeau.

Elle en profite pour mater aussi les dernières images qu’elle a screené dans la story privée de Franck ainsi que ses propres images et vidéos censurées d’elle en train de se caresser, ou de se branler avec son gode à manche et sa magic wand. Elle a pris à chaque fois un grand soin à cacher sa vulve et ses nichons avec des représentations de pêches, alors que ses godes et autres jouets sont savamment dissimulés derrière une aubergine. Elle a bien conservé les originales avec celles filmées par tous ces mâles qu’elle suce depuis deux jours.

Comme une automate, Élodie se dévêtit ensuite intégralement, ne conservant que lunettes, raz le cou et stilettos, puis elle se rend à la cuisine pour compléter son œuvre congelée de sa récolte du jour. Elle a à peine vider le premier préservatif que quelqu’un sonne à la porte. Prise de panique, elle planque nerveusement le réservoir dans le congélateur et file à la salle de bain pour engoncer ses formes généreuses dans la petite serviette de bain fournies par le corbeau. Toute fébrile, elle a beaucoup de mal à refermer le nœud au-dessus de ses grosses mamelles et se précipite dans le couloir pour ouvrir la porte, délaissant les cinq capotes encore pleines sur le plan de travail de la cuisine aux côtés de son smartphone déverrouillé.

C’est toute essoufflée, les cheveux ébouriffés tenus en chignon négligé par un crayon à papier qu’elle ouvre la porte d’entrée sur ….

-Franck? Bonjour, je …. EUUUUH ….

La gamine perd littéralement ses moyens devant le beau gosse. Elle a l’impression que ses jambes fondent sous elle et qu’elle va s’effondrer devant le jeune homme dans son jeans et son t-shirt serrés et flatteurs.

-Eh ben salut p’ti cul! Toujours aussi vêtue? La taquine-t ’il, le regard coquin fixé sur la fente latérale de la serviette dévoilant les formes de la belle et sa peau d’albâtre.

-Je ... . EUH … mais viens, entre! Lui répond-t ’elle en bafouillant. Tu veux un truc à boire?

“Tu veux un truc à boire? Mais ça va pas ma fille? T’es conne ou quoi?” Elle s’écarte machinalement de la porte pour l’inviter à entrer:

-Ben pas de refus, t’es ma dernière livraison du jour! Il s’invite chez elle, un clin d’œil complice lorsqu’il passe le seuil de la porte.

Un peu gênée de le recevoir ainsi, maquillage presque disparu, toute crade des séances de pompage de bite et de collecte de foutre, elle perd tous ses moyens et ressent un besoin pressant de reprendre le contrôle de la situation. Mais son cerveau ne fonctionne plus, embrumé par les derniers jours à jouer les allumeuse avec le beau gosse tout en suçant tous ces inconnus derrière les bars, dans des ruelles cradingues, ou encore dans des cabanes de chantier entourée de trois ou quatre pervers.

-Ecoute, installe toi, prend une bière ou un coca dans le frigo, je file me faire une petite beauté et je reviens, OK?

Les jambes en coton, et toute fébrile de l’arrivée du livreur, elle ne s’interroge même pas sur le contenu de la boîte qu’il a sous le bras. Elle effleure ses bras puissant en le guidant à l’intérieur de l’appart “Putain! J’en f’rait bien mon quatre heure!” Elle se dirige ensuite vers la salle de bain, encore toute émoustillée. Lorsqu’elle referme la porte derrière elle, elle tente de reprendre ses esprits, le dos appuyé contre le carrelage froid de la salle d’eau.

-Fait comme chez toi lui crie-t ’elle depuis la pièce d’eau.

Il lui répond distraitement, en entrant dans la cuisine, le regard attiré par le tas de préservatifs noués sur le plan de travail à côté du smartphone déverrouillé:

-Oui oui t’inquiète!

Il att le téléphone de la gamine en ouvrant le frigo dans un bruit de cannettes s’entrechoquant. “HUM, est-ce que ça se fait?” s’interroge-t ’il en ouvrant snapchat pour consulter les stories de la gamine en espérant enfin la voir nue sans les censures avec lesquelles cette petite allumeuse s’amuse à le r depuis deux jours.

Sans se douter que le beau gosse est en train de mater les photos et vidéos non censurées qu’elle stocke dans la story du corbeau, Élodie fait couler l’eau de la douche pour qu’elle chauffe alors qu’elle tente de remettre ses idées en place en regardant la petite salope qui se reflète dans le miroir en face d’elle.

Franck a enfin trouvé ce qu’il cherchait, et, sauvegardées avec les versions intégrales des posts qu’il reçoit de la belle, il trouve les vidéos amateurs enregistrées par tous les prolos que la belle suce et branle comme une pro: “Putain! Mais quelle bonne salope!” Il ne pensait pas tomber un jour sur une petite salope qui se fait filmer par les mecs qu’elle suce et pompe en mode trash dans des endroits tout aussi insolites qu’improbables.

D’ordinaire, il ne s’intéresserait même pas à ce genre de traînée, mais avec les jouets sexuels que la petite se fait livrer, et les tenues dans lesquelles elle le reçoit et le chauffe depuis le début de la semaine, il a bien du mal à écouter sa propre raison. Son instinct animal prend rapidement le dessus et son cerveau d’hormones fraîches régresse rapidement pour laisser place à une chaleur sourde en train de gonfler dans ses reins et dans sa bite gonflant sous le tissu de plus en plus serré de son jeans.

Son être profondément gentil et avenant laisse la place à un nouveau Franck, prédateur, avide de démonter ce petit cul potelé qui lui fait de l’oeil par écran interposé. N’écoutant plus que la bête sexuelle se réveillant en lui, il att les capotes pleines sur le plan de travail et suit instinctivement le bruit d’eau qui coule dans la salle de bain, en quête de sa proie juvénile.

Élodie reprend un peu ses esprits, sa peau meurtrie soulagée par la caresse de l’eau bouillante. Elle imagine le corps musclé de l’étalon, et frémit lorsque de sa main douce, elle frôle son intimité sensible. Elle ferme les yeux lorsque ses doigts glissent lentement sur les muqueuses à vif de sa vulve gonflée de désir pour le jeune homme. Elle se mord les lèvres lorsque de sa main libre et savonneuse elle caresse sa poitrine gonflée et pince, puis étire ses tétons durcis et bandés comme des petites bites. Prise dans la volupté de son plaisir naissant, elle n’entend pas la porte de la salle d’eau s’ouvrir, ni ne voit l’ombre du bel étalon se dessiner derrière la vitre opacifiée de la cabine de douche.

Franck le prédateur entre en douceur dans la pièce chaude et humide de vapeur, il l’aperçoit, la blancheur de la peau contrastant avec la chute de cheveux foncés derrière les panneaux opacifiés. Il devine, d’après les ondulations langoureuses qui l’hypnotisent, que la gamine est encore en train de s’adonner à de nouveaux plaisirs sensuels et sexuels. Tout en prenant soin de ne pas éveiller les soupçons de l’adolescente quant à sa présence toute proche, le jeune homme se déshabille sans un bruit, puis il détache les nœuds des capotes qu’il maintient fermement entre ses doigts.

Élodie sent tout juste la fraîcheur envahir la cabine de douche lorsque Franck ouvre les panneaux opaques et les referme derrière lui avant de plaquer son corps puissant et taillé à la serpe contre le dos cambré de sa proie. Elle se délecte du contact chaud et doux de sa peau contre la sienne. La main puissante du beau gosse glisse sur son dos cambré, ses reins tendu en arrière, puis sur son cul potelé et musclé qu’il écarte pour y caler sa tige de chair tendue mais pas encore dure.

La gamine se délecte de ce corps puissants et se perd dans la présence qu’il dégage autour de son petit être fin et aux formes généreuses. La queue du bellâtre glisse entre ses fesses ouvertes, et sa main gauche rejoint la petite main d’Élodie pour l’accompagner dans une caresse vaginale forte et intense. Les doigts puissants s’entremêlent aux siens et lui massent la vulve ouverte et déjà luisante de mouille. Il lui masse le clitoris qui s'érige déjà hors de sa cachette de chair et il l’emprisonne entre ses doigts en le pinçant doucement. Des frissons contrastant avec la chaleur de l’eau de la douche, parcours tout le corps de la gamine qui frétille sous les caresses du jeune homme.

Il entrecroise ses doigts avec ceux de la gamine et lui explore la vulve éclose. Élodie gémit doucement, se pinçant les lèvres et embrassant pleinement le plaisir qu’il lui procure:

-Vas-y ‘tite salope, branle toi comme une chienne! Lui souffle Franck à l’oreille.

La dureté du propos la grise encore plus, il ne va pas la traiter comme une gamine, il la prend comme une femme, son gros sexe se tend et durcit entre les fesses de la gamine. Élodie se arc encore plus ses reins vers l’arrière lorsque la main de Franck remonte le long de son ventre tendu, alors qu’elle lui obéit et se fourrage la chatte. Il empoigne son sein gauche, le caresse, le malaxe doucement pour commencer, puis l’enserre de sa poigne de plus en plus fort. Il joue ensuite avec son téton qu’il étire, qu’il roule entre ses doigts lubrifiés de cyprine, puis qu’il pince violemment, arrachant un premier cri de douleur et de plaisir mélangés à la gamine qui ondule de plus en plus contre son corps d’athlète.

Satisfait de la réaction de la gamine, il glisse ensuite ses doigts le long de sa nuque fine et tendue vers l’avant pour ensuite l’encercler en un simulacre d’étranglement. Élodie se contracte de désir pour cet homme fort qui la tient à sa merci. Elle veut qu’il la domine, qu’il la possède, qu’il la violente et la baise comme une traînée, là, maintenant! Mais le jeune homme veut faire durer le plaisir, il remonte ses doigts et les présentes à la bouche gourmande qui les aspire goulument. La gamine se délecte de sa propre mouille aux relents métalliques.

Un bruit à l’extérieur de la salle d’eau perturbe la gamine qui prend soudain conscience, le cerveau à moitié noyé dans son plaisir et dans son désir de se faire posséder par ce mâle puissant, que ses parents ne vont sûrement pas tarder de rentrer du travail. Mais Franck l’attire à nouveau dans son désir de posséder cette petite chienne allumeuse et perverse. Il retire ses doigts et *CLAC*, lui assène une fessée bien bruyant sur la peau de sa fesse gauche qui rosit instantanément.

L’adolescente se cambre et frétille sous le coup de main puissant et cinglant, qu’il répète une fois fois, *CLAC*, puis deux, *CLAC*

-HUN …. Oui …. Fait moi mal …. *CLAC* …. HAN Ouiii …. *CLAC* …. Putain c’est bon!

-Ta gueule salope! *CLAC* Il lui tire les cheveux en arrière et lui ordonne: Bouffe moi la bite ‘tite chienne!

Comme si elle n’attendait que cet ordre, la gamine se retourne, et fond comme un oiseau de proie sur la longue et large bite rose tendue et offerte à sa bouche gourmande. Il l’accompagne, la main gauche tenant fermement les cheveux mouillés et bouclés de la belle salope. Élodie s’accroupit devant son mâle, les cuisses écartées, l’eau ruisselant sur son ventre et le long de sa fente ouverte et avide de cette bite qu’elle aspire goulument en la massant de sa main fermée, alors que sa main libre prend appui sur la cuisse musclée de son homme.

Elle le suce, le pompe, lui trait le gland, les yeux fermés tout à faire un maximum de bien à son étalon. Devant la dextérité de la gamine, Franck se laisse prendre au jeu et se met à onduler du bassin pour accompagner le pompage en règle de sa grosse bite. Aucune de ses conquêtes ne l’a jamais sauvé avec une telle fougue, ni une telle passion, mais il ne peut retirer de son esprit les images de tous ces hommes que cette petite salope suce en se faisant filmer. C’est le moment qu’il attendait pour assouvir une pulsion qui gonfle en lui depuis qu’il a vu les vidéos et les capotes pleines de foutre.

Alors qu’Élodie s’évertue à aspirer son gland gonflé de sang et de désir pour ces lèvres voluptueuses, il tire la longue crinière brune vers l’arrière, arrachant un nouveau cri à la gamine, et profite de sa bouche ouverte pour déverser le contenu des préservatif sur sa bite tendue comme un guide pour que tout ce foutre se déverse entre les lèvres devant lui.

Lorsque Élodie sent les premières gouttes de sperme rance se déverser sur sa langue, elle la tend en direction de la queue bandée de son amant et l’aspire à nouveau avec gourmandise. Elle se délecte des cinq décharge qui collent, glissent et se répandent sur le sexe tendu avant de s’écouler sur sa langue gourmande et d’envahir sa bouche de leur odeurs et de leurs goûts magnifiés par son propre délire sexuel.

Sa salive se mélange avec la semence liquide qui emplit maintenant sa bouche, et le jeune homme se laisse aller à ses pulsions animales en prenant pleinement possession de cette bouche gourmande qu’il baise maintenant en profondeur et avec force.

*GWAH* *GWAH* *GWAH* *GWAH* *GWAH* La belle accompagne ses mouvements de bassin en une gorge profonde gourmande de volupté, malgré les cuisses qui commencent à la brûler à rester tendues dans cette position accroupie et soumise. Il se retire de temps à autre pour laisser la belle suceuse reprendre sa respiration, et se remet à lui baiser la gorge avec fougue et puissance, encadrant son visage poupon de salope de ses mains puissantes.

Élodie n’en peut plus, elle malaxe son sein et tiraille son téton, perdue dans son plaisir gonflant sous le pilonnage en règle de ses doigts fourrageant sa chatte en chaleur. Les bruits humides de la bouche baisée et de ses muqueuses malaxées se mélangent à l’écoulement de l’eau sur leurs corps et envahissent la pièce inondée de vapeur. Les bruits à l’extérieur de la pièce ont disparu, mais l’esprit d’Élodie ne peut se détacher du risque de voir débouler ses vieux à tout moment. C’est alors que, l’esprit encore embrumé, la gamine se fait soulever par l’étalon qui la redresse et dans un même mouvement passe ses mains sous les fesses tendues pour la plaquer le dos contre le carrelage étonnamment frais de la cabine de douche.

Le frisson provoqué par l’écart de température fait se cambrer la gamine qui offre sa chatte ouverte à la bite tendue de son amant. Franck se plante en un seul et puissant coup de reins au plus profond de sa vulve béante et ouverte de désir pour son bellâtre.

-HAN OUI Putain! Prend moi bien salop!

-T’aimes ça hein? Petite traînée!

-Oui c’est bon putain! Baise moi salop! Prends moi comme une chienne!

Et il n’en faut pas plus à l’étalon pour baiser la gamine à grands coups de bite profonds, écrasant son gland au plus profond de son ventre et ses couilles contre sa pastille tendue et humide, à chaque nouveau coup de reins. Élodie n’en peut plus, tous ces jours à être privée de son plaisir par son beau père et ce connard de maître chanteur, et là, à cet instant, à ce moment, elle peut enfin se laisser aller à vivre pleinement la jouissance de se faire baiser par un magnifique étalon qui la désir et qu’elle souhaite satisfaire. Chaque nouveau coup de queue viril la rapproche de sa propre jouissance, il la bourrine comme un sauvage et elle se laisse posséder et dominer par cette montagne de muscle qui la fait jouir en continu.

Le plaisir monte et gonfle en elle à chaque coup de queue, elle le sent déjà gonfler et frétiller en elle, elle veut jouir avec lui et tente de contenir son plaisir:

-Han oui, putain baise moi comme ta pute!

Franck sent le plaisir monter en lui, mais c’est trop tôt, il en veut encore! Il se retire et la retourne violemment, face contre la faïence froide et humide. Il plaque sa main derrière la nuque de la gamine et lui cambre les reins pour écraser ses gros seins contre les carreaux froids. De sa main libre, il lui claque la fesse droite et l’écarte pour lui ouvrir le cul.

-Oui prends moi comme une chienne, putain! …. HAN ….

Il se plante en elle de toute la longueur de sa grosse queue tendue. Il plante son pouce droit dans la pastille striée et tendue de sa petite salope, et commence à la ramoner avec force et puissance, écrasant ses gros seins à chaque nouveau coup de reins. Sa queue puissante frotte contre son pouce à travers la paroi vaginale de la gamine!

-Putain qu’est ce que t’es serrée espèce de chienne!

-Hun …. oui tu l’aimes ma petite chatte toute serrée, hein? Salop!

*CLAC* Tiens petite pute!

Il a retiré son pouce et lui claque le cul pour mieux l’écarter. Dégainant sa queue des muqueuses vaginales, il plaque son gland à l’orée de la petite pastille striée de son anus et sans autre préliminaire, il pousse inexorablement en un long et profond coup de reins. Les muqueuses anales s’écartent autour de sa grosse bite tendues et Élodie pousse afin de lui faciliter la pénétration.

-HAAAAAN OUIIIIII, prends moi fort salop!

Franck ne se fait pas prier et il se met à lui ramoner le cul comme une bête, arrachant à la gamine des râles de plaisir. Élodie aime se faire démonter l’anus par ce bel étalon fort et puissant! Elle se détend au maximum pour qu’il la besogne en profondeur, déglutissant des râles de plaisir à chaque nouveau coup de bite en elle. Le claquement du ventre puissant contre ses grosses fesses tendues la rend folle! Jamais personne ne l’avait faite autant jouir! Elle en est à son troisième orgasme sous les coups experts et puissants du bellâtre!

Elle lui réserve son quatrième orgasme pour l'accompagner lorsqu’il explosera en elle. Au bord de l’explosion, Franck att la belle par les cheveux pour l’attirer à lui, alors que de la main gauche, il appuit sur les reins cambrés pour la plier un maximum et écraser ses gros seins de pute contre le carrelage du mur à chaque nouveau coup de queue.

Élodie se laisse envahir par la jouissance gonflant dans son ventre, inconsciente de la présence ou non de ses parents, elle laisse exploser son plaisir lorsqu’elle sent son mâle gonfler et frétiller dans son cul. Soudain, tous ces jours de privation explose dans son ventre en un énorme feu d’artifice accompagnant le déversement de foutre chaud au fond de ses intestins burinés:

-HAN OUIIII PUTAIIIIINNNNN!!!!!!

Franck se retire du petit cul béant de la gamine et l’accroupit à nouveau devant lui pour qu’elle lui nettoie la queue.

-SLURP! HUM HUM HUMPH!

La gamine gourmande lui aspire la bite odorante de ses jus intimes mélangés à tout le sperme encore gluant qui la recouvre. Elle se termine dans un dernier spasme de plaisir, les doigts plantés dans sa chatte à se pistonner.

Sans plus de cérémonie, le beau Franck sort de la douche et abandonne la belle vautrée dans la cabine, son petit anus béante dégurgitant le sperme chaud et gluant. Il s'essuie vite fait et quitte la pièce d’eau en se rhabillant, laissant même la porte ouverte derrière lui.

Élodie a du mal à émerger de son extase, lorsque quelques minutes plus tard, elle réalise que son smartphone est encore à la cuisine et que ses parents sont sur le point de rentrer! “Eh merde!” ….


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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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